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David Deharbe
David Deharbe
Avocat spécialisé en droit de l'environnement / Green Law avocats

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Parcours

Avocat au barreau de Lille et fondateur du cabinet Green Law avocats, David Deharbe a développé une activité spécifiquement tournée vers le droit de l’environnement, à la fois industriel (droit des déchets, droit des ICPE, élevages, carrières, etc.) et en matière d’énergies renouvelables (éolien, photovoltaïque, méthanisation, etc.). Il assiste des groupes industriels – notamment en matière de déchets, de chimie fine et de carrières – pour lesquels ils peut, par exemple, négocier les dispositions des arrêtés préfectoraux en liens avec les bureaux d’études qualifiés, défendre au contentieux des arrêtés qui font l'objet de recours, de mise en demeure ou de sanction, ou encore auditer des dossiers de demande d’autorisation d’exploiter au stade du dépôt, de l’enquête publique, au long de l’instruction et devant le Coderst. En matière d'énergies renouvelables, David Deharbe connaît bien les problématiques juridiques liées à la cohabitation entre les éoliennes et les radars météorologique ou militaires, ainsi que celles liées aux insuffisances d’étude d’impact. L'avocat est par ailleurs maître de conférences de droit public – il dirige des recherches depuis 2007 à l'université Lille-II et y est membre de l'Institut de recherche en droit public.

Société / Organisme

Le cabinet Green Law avocats, composé de quatre avocats appuyés de consultants universitaires, intervient dans toutes les branches du droit de l'environnement.

Ses dernières chroniques

Acteurs de l'environnement 29/09/2016

Quels standards pour juger de la "suffisance" de la nouvelle évaluation environnementale des projets ?

L'évaluation environnementale des projets évolue. Pour l'avocat David Deharbe, avec les nouvelles exigences, "la question est de savoir comment le juge va ajuster son niveau d’exigence du sérieux de l’étude d’impact".

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Politiques et territoires 11/04/2016

Contentieux des autorisations d’urbanisme : le pétitionnaire tétanise les requérants !

Imaginez : le riverain attaque le permis de construire de son voisin et se retrouve condamné à lui payer 82 700 euros de dommages et intérêts ! C’est exactement ce qu'a décidé récemment le tribunal administratif de Lyon. Une décision décryptée par l'avocat David Deharbe.

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